Il
m’a parlé de sa famille et des familles de son quartier, de leurs besoins, de leurs conditions de précarité, mais
surtout de la difficulté des enfants d’accéder à une scolarisation normale et régulière. Leurs parents bien souvent
n’ont pas les moyens de pourvoir les fournitures minimales nécessaires pour
accéder à l’école ni de les alimenter avant qu’ils ne s’y rendent.
Nous
avons commencé à faire le décompte des enfants du quartier, de mémoire
seulement, Bailo en comptait déjà une quarantaine. Comment choisir un enfant
parmi tous et renoncer à aider les autres?
Si nous
voulons changer la vie de ces enfants et leur donner l’opportunité d’une
éducation adéquate, il faut que nous
impliquions nos connaissances, nos amis et à leur tour les amis de nos amis.
L’association,
grâce à Bailo, nous permet de faire parvenir les dons de forme directe aux
enfants bénéficiaires sans compter sur d’organisations intermédiaires. Sur
place Dioulde Diallo, un neveu de Bailo d’une vingtaine d’années, prendra en
charge la répartition des fonds entre les enfants les plus nécessiteux du quartier.
En
Afrique les familles sont dites élastiques parce qu’elles ne tiennent pas en
compte les liens de sang mais bien les liens de cœur. Devenez vous aussi un membre à part entière de
cette grande famille en adoptant le rôle d’une « Mama Afrique »
préoccupée par l’avenir des enfants du quartier de Soucoupapaye.
Offrons
l’opportunité à tous ces enfants de devenir les futurs acteurs du changement
social et économique du Sénégal grâce a un meilleur accès à l’éducation scolaire. Lisez notre projet et collaborer.
RENDONS POSSIBLE ENTRE TOUS, CE RÊVE POUR LES FILLES
ET LES GARÇONS DU QUARTIER DE SOUCOUPAPAYE.
In
sha’Allah !
María Fernández-Ardavín Castro
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